Les fêtes civiles dv956c3275nvvm Le Nouvel An (1 janvier) dv956c3275nvvm On fête la nouvelle année. À 0 heure une, tout le monde s’embrasse en se souhaitant “Bonne année!”. Dans les rues, les automobilistes klaxonnent bruyamment pur fêter la nouvelle année. Ce jour est chômé, c’est-à-dire qu’on ne travaille pas. 23956cdq75nvm3e Les gransparents offrent des “étrennes” à leurs petits-enfants sous la forme d’une petite somme d’argent. C’est aussi la tradition d’offrir une somme d’argent à sa concierge, gardienne de l’immeuble où l’on habite, ou à son facteur, ou encore aux postiers et aux pompiers qui viennent presenter leurs voeux en vendant de porte à porte leur calendier traditionnel. dv956c3275nvvm Le 14 juillet
dv956c3275nvvm dv956c3275nvvm Commémorant la Révolution française et plus précisément la prise de la Bastille en 1789, c’est la fête nationale. On va admirer les feux d’artifice et on danse sur les places des villes et des villages, sous les lampions. Le 11 novembre et 8 mai dv956c3275nvvm L’anniversaire de la fin des deux guerre mondiales, le 11 novembre pour la guerre de 14-18, le 8 mai pour la Seconde Guerre mondiale, est l’occasion de se souvenir des soldats “morts pour la patrie”. Les anciens combatants vont deposer une grebe de fleurs au pied des monuments aux morts. À Paris, le president de la République va rallumer la flame de la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe. Le 1 avril dv956c3275nvvm C’est la jour des farceurs: on peut ce jour-là ranconter des histories fausses à ses amis pour plaisanter. Les enfants s’amusent a àccrocher dans le dos des adultes des “ poisson d’avril”, poisons découpés dans du papier. C’est jour n’est pas chômé. Le 1 mai dv956c3275nvvm C’est la fête du travail avec ses traditionnels defiles syndicaux. On a coutume d’offrir un brin de muguet (fleur blanche aux clochettes parfumées) comme porte-bonheur aux personnes qu’on aime. Pas question de travailler ce jour-là! dv956c3275nvvm dv956c3275nvvm dv956c3275nvvm dv956c3275nvvm